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Bonjour à
tous
Pierre Clerget est un motoriste de génie qui a travaillé sur le
dopage à l’eau des moteurs diesel au début du 20e siècle. Gérard Hartmann a
publié un livre étoffé, en 2004, pour mieux nous faire connaître cet homme de
génie et ses travaux (voir ci-dessous). Cet auteur a également mis à la
disposition de tous de l’information historique sur les moteurs dans un site
Internet:
http://www.hydroretro.net/etudegh/index.html
Vous
y trouverez, entre autres, dans la section «Moteurs», un article très
intéressant sur «Le moteur à eau», daté du 9 octobre 2006, en format pdf
(ci-joint).
On
y apprend que, dès 1901, grâce à l’injection d’eau, Clerget pouvait doubler la
puissance d’un moteur diesel, diminuer la fumée émise, et adoucir le régime du
moteur. Mais, on y retrouve également les courbes suivantes de la température
dans les cylindres, en fonction du temps:
Ces
courbes sont importantes et confirment ce que je vous avais dit dans mon
courriel du 6 avril dernier, dont voici un extrait:
«Ainsi,
le fait d’introduire de la vapeur
d’eau dans les cylindres va diminuer la température maximale de la combustion
mais également empêcher un refroidissement trop brusque des gaz lorsque le
volume de la chambre de combustion s’agrandit subitement après
l’«explosion». Ce qui permet à la vapeur d’eau de
faire ça c’est sa capacité de stocker beaucoup d’énergie sous forme de rotation
et de vibration de ses molécules. En effet, il faut savoir que la température
d’un gaz est en fait une mesure de la vitesse de déplacement des molécules qui
le composent (vitesse de translation). Et lorsque les vitesses de translation
des molécules sont ralenties (refroidissement), leur énergie stockée sous forme
de rotation et de vibration est transférée à l’énergie de translation des
molécules, dans un processus d’équilibrage, ce qui ralentit le refroidissement.
La vapeur d’eau permet donc à la température des gaz dans les cylindres du
moteur de se maintenir à une valeur élevée plus longtemps, ce qui donne plus de
temps pour effectuer une combustion complète du carburant, et assure une poussée
plus uniforme sur les pistons du moteur. D’ailleurs le fait que ceux qui ont
installé un système Gillier-Pantone sur leur véhicule témoignent d’un
fonctionnement plus doux du moteur confirme cette poussée plus uniforme des
pistons.»
Une chaleur maximale moins élevée permet également de
diminuer les pertes thermiques dans le bloc moteur, et rendre le moteur plus
efficace, donc moins de consommation de carburant.
Cordialement
Pierre Langlois,
Ph.D. physicien : consultant / auteur tél: (418)
875-0380
***VOIR AU-DELÀ DES APPARENCES, GARDER L’ESPRIT OUVERT ET AGIR !
***Plus on s’informe et plus on en parle, plus ces inventions seront désirées et produites.
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